À partir de 1950, Edgar Varèse, Pierre Schaeffer et Pierre Henry utilisent l’électronique pour leurs compositions : ils intègrent des instruments électroniques parmi les instruments habituels (comme l’onde Martenot par exemple), ou associent un orchestre à des sons électroniques enregistrés, et modifiés. Ils travaillent également à partir de sons non-musicaux ou de sons créés de toute pièce : l’arrivée de l’informatique permet des possibilités infinies. Dans leur lignée, Karlheinz Stockhausen, György Ligeti, Pierre Boulez, Luciano Berio, et Luigi Nonocomposeront à leur tour des pièces en usant de ces nouvelles technologies.