Arnold Schönberg, Alban Berg et Anton Webern, les compositeurs de la seconde école de Vienne, choisissent de nouveaux repères : au lieu d’organiser la musique autour d’une mélodie que l’on harmonise, ils utilisent les 12 sons qui existent dans la musique occidentale pour créer des « séries » et composer grâce à elles. La musique devient atonale : elle ne s’organise plus autour d'une tonalité. D’autres compositeurs, comme Pierre Boulez, iront encore plus loin en élargissant cette technique.