Cette transposition chorégraphique de l’œuvre de Beethoven n’a d’autre idée, d’autre but, d’autre argument que la musique qui la supporte, la nourrit, et en est la seule raison d’être. La danse, ici, ne fait que suivre le lent cheminement du compositeur qui va de l’angoisse à la joie, des ténèbres vers la clarté.