Ces Poèmes symphoniques sont des Åuvres de la maturité d'AntonÃn DvoÅák et ont été inspirés, à l'exception du Chant du héros, par des contes en vers de Karel JaromÃr Erben issus des légendes populaires transmises par la tradition orale tchèque. Ils ont été composés après son séjour américain, lors de son retour en Bohême en 1896 et constituent les dernières Åuvres pour orchestre du compositeur. Au nombre de cinq, ils sont représentatifs d'une musique à programme. Ils peuvent être rapprochés, dans la démarche, des Ouvertures de concert ou du cycle Má Vlast de Smetana.