La richesse : qu’il s’agisse de saphirs, de diamants, de perles, d’ivoire, de soie, de tapis, ou encore de tigres, les parfums et les épices, les jolis trucs ne manquent pas d’inspirer. (La splendeur vide, Saint-Saëns, 1870 : écouter)

Le harem : l’eunuque, les soirées d’orgies et d’opium attirent la plume. L’opium est à la fois le rêve, la légèreté, et l’angoisse, le chancèlement. (Tournoiement, Camille Saint-Saëns, 1870 : écouter)

Les femmes d’Orient : on en fait de longues descriptions (La solitaire, Saint-Saëns, 1870 : écouter (oui bon je sais, encore Saint-Saëns, mais s’il avait pas écrit autant de Mélodies Persanes on n’en serait pas là !))

Les barbares sanguinaires : un peu racistes quand même, ces colonisateurs ! Les chevaliers tranchant des gorges sont aussi représentés dans les esprits des musiciens (Sabre en main, vous savez de qui, 1870 : écouter)