Un video amatoriale mostra un cecchino israeliano che spara a un palestinese disarmato nella Striscia di Gaza. Nel filmato, ripreso attraverso il mirino del fucile di precisione di un commilitone, si vede l'uomo avvicinarsi alla barriera che separa l'enclave dallo Stato ebraico. Poi il comandante dà l'ordine di aprire il fuoco e il cecchino aspetta per la presenza di un bambino. Infine spara il colpo e il palestinese, ferito alla gamba, si accascia a terra. Seguono le grida di giubilo dei soldati: 'Wow, che video!', 'qualcuno è stato colpito in testa', 'un video leggendario', 'è volato in aria'. L'esercito ha confermato l'autenticità del video e ha aperto un'inchiesta precisando che il filmato risale al 22 dicembre

Si la situation au Proche-Orient continue de cliver les politiques, le rap français a de son côté clairement pris position.

Si la chanson est reconnue depuis longtemps comme un écho des opinions populaires, voire comme un instrument de ralliement derrière une cause, dans le cas de la Palestine elle joue un rôle supplémentaire. Ce n’est pas un mystère : l’entreprise de colonisation du territoire palestinien s’est très tôt accompagnée d’une colonisation culturelle qui a entravé, menacé de disparition, voire totalement nié la culture palestinienne. Dans un tel contexte, les chansons palestiniennes, ou même celles qui « parlent de Palestine », en plus de participer à la lutte proprement dite, constituent en elles-mêmes des actes de résistance, des « preuves de vie », des preuves de créativité d’une population qui ne se laisse pas détruire. C’est cette histoire que nous allons explorer ici.