La séquence « aquarium » est différente. La musique n’imite pas le son des poissons puisque les poissons n’ont pas de cri perceptible par nous: elle fonctionne par association d’idées, affectant à l’évocation des poissons une musique aux effets de fluidité (et une de mes étudiantes, entendant la musique, a fait un geste de la main comme une carpe dans un bassin). Dans la même optique, c’est le son sec du xylophone qui évoque les osselets des fossiles, et rappelle à l’auditeur qui connaît son Saint-Saëns la danse macabre où le même instrument est employé.