Contrairement à l’affirmation d’Adorno1, il faut reconnaître qu’aujourd’hui c’est l’auditeur-consommateur qui détermine la situation de la musique, que cela nous plaise ou non. En effet, à travers les débats sur la “nouvelle simplicité”2, il est apparu que le facteur “popularité” en musique ne pouvait être négligé. Partant, il convient de réaffirmer l’effondrement de l’avant-garde, ce qui signifie que nous sommes maintenant dans la période post-moderne de la musique. La génération des composi...