« Je me souviens le départ / ce matin- là, amer,
le discours que me tins la femme /qui me servait de mère.
Je me souviens de mes frères / / de l'expression de mes frères, Je
suis parti en silence ils me regardèrent.
Le soleil brille à nouveau dans ma vie /
j'y vois plus clair. Aveuglé par les néons comme Icare je perds.
Don(ne)-moi la main maintes fois par
toi j'ai voulu être choyé, J’me suis dévoyé pourquoi n'as-tu jamais su
m'écouter ?
Je me souviens des discours / qui enflammaient les liens, Tout allait si
bien mais il fallait recoller au quotidien.
Ne dors pas /
car la mort / se sert du somme comme appât, Je pars / pardon(ne)-moipour la paix que tu ne connais pas
.