Dvořák exprime dans sa Symphonie du Nouveau Monde l'universalité des sentiments, de la douleur, de la nostalgie. Peu importe l'appartenance à une culture, à une nation ; la douleur d'un Indien n'est pas moins véridique et respectable que la nostalgie d'un esclave noir, ou d'un paysan tchèque. Seul l'homme compte, parce qu'il est homme, au-delà des cultures, au-delà des différences et des destins.