Notes interdites et accords du diable - L'influx
La Fête de la Musique fait descendre dans la rue des essaims de musiciens qui se partagent et parfois se disputent l'espace sonore : la ville bruit alors d'une rumeur cacophonique dont personne ne songerait à s'offusquer, la question des goûts et des couleurs se réglant aujourd'hui d'un correct « chacun les siens »... - issn: 2497-1766
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Le diable caché dans la musique, diabolus in musica | Accordeur de piano Marne - Serendipianos - Technicien diplômé
Histoires du son Le son a son Histoire. Il en a même plusieurs! Dans cette série d'articles, nous tenterons de nous faire une idée du long chemin parcouru quan
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Diabolus In Musica | Wikiwand
En musique, au Moyen Âge, le Diabolus in Musica était le nom donné à la présence d'un intervalle de trois tons . Cet intervalle engendre une attente ou tension pour l'auditeur, contrairement à une quarte ou une quinte juste qui produit un effet conclusif et apaisant appelé aussi résolution. Cet effet d'intervalle désagréable était d'autant plus présent puisque contrairement à aujourd'hui les instruments n'étaient pas tempérés.
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Triton (musique) | Wikiwand
En musique, triton est un autre nom de l'intervalle de quarte augmentée, ou encore de quinte diminuée. Ce nom est dû au fait que cet intervalle fait exactement trois tons , soit une demi-octave.
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À la fin du Moyen Âge, le triton a été systématiquement évité car jugé trop dur à l'oreille, ce qui lui valut le surnom de « Diabolus In Musica » :

« Il semble avoir été envisagé comme un intervalle “dangereux” lorsque Guido d'Arezzo développa son système hexacordal avec l'introduction du si en tant que note diatonique, tandis que l'intervalle recevait en même temps son surnom de Diabolus In Musica le diable dans la musique. »